En à peine 20 ans, Kernix a eu la chance de participer à pas moins de 3 révolutions majeures pour notre société : le web, la mobilité (via les smartphones) et plus récemment la démocratisation de l’apprentissage automatique (que nos médias aiment à qualifier d’IA).
Peu de secteurs ont évolué à un rythme aussi soutenu que le numérique.
Avec un peu de recul il est intéressant de constater que ces révolutions se sont toujours installées de la même manière : les pionniers (dans leur labo) défrichent, les experts (dans leur « boutique ») font monter le buzz et enfin, les sociétés de service les diffusent durablement au sein des entreprises.
L’avènement de cette troisième phase est importante car elle met fin à une certaine forme d’hystérie où le rapport investissements / création de valeur est rarement favorable au client final. Ainsi, nombreuses sont les entreprises qui ont été échaudées par les séries de POCs approximatifs et les cellules d’innovations hors sol.
Il est important de réaliser que le recours à la data science doit aujourd’hui être aussi naturel que l’utilisation, par exemple, de moteurs de bases de données. Lancer un projet d’analyse prédictive basée sur de l’apprentissage automatique ne diffère en rien du lancement classique de RPA. Les technologies sont matures et les experts (data scientists) sont re descendus de leur piédestal.
Chez Kernix, notre vision est de systématiser l’utilisation de la science des données pour optimiser la performance des outils métiers que nous développons pour nos clients. Il peut s’agir de caractériser les utilisateurs, de prédire les ventes, de détecter les fraudes, de recommander des produits, etc.